Le temps « béni » des colonies
Je sirotais un café à une table de ma plus belle place de Paname, parce que les terrasses avaient rouvert et qu’il était encore trop tôt pour ma bière, quand j’entendis une phrase qui fit dresser l’oreille ornée de gris du vieux renard argenté des surfaces parisiennes que je suis : « Je n’achète plus rien […]
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